Παρασκευή 9 Μαρτίου 2018

High lymphocyte count during neoadjuvant chemoradiotherapy is associated with improved pathologic complete response in esophageal cancer

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Publication date: Available online 9 March 2018
Source:Radiotherapy and Oncology
Author(s): Penny Fang, Wen Jiang, Rajayogesh Davuluri, Cai Xu, Sunil Krishnan, Radhe Mohan, Albert C. Koong, Charles C. Hsu, Steven H. Lin
Background and purposeNeoadjuvant chemoradiation (nCRT) can reduce tumor infiltrating lymphocytes. We examined absolute lymphocyte count (ALC) nadir during nCRT for esophageal cancer (EC) and pathologic complete response (pCR).Materials and methodsPatients with stage I–IVA EC (n = 313) treated 2007–2013 with nCRT followed by surgery were analyzed. ALC was obtained before, during/weekly, and one month after CRT. pCR was defined as no viable tumor cells at surgery. High ALC was defined as nadir of ≥0.35 × 103/μL (highest tertile). Comparison of continuous and categorical variables by pCR was assessed by ANOVA and Pearson's chi-square. Univariate/multivariate logistic regression was used to assess predictors of pCR and high ALC nadir.ResultsEighty-nine patients (27.8%) achieved a complete pathological response (pCR). For patients with pCR, median ALC nadir was significantly higher than those without (0.35 × 103/μL vs 0.29 × 103/μL, p = 0.007). Patients maintaining high ALC nadir had a higher pCR rate (OR1.82, 95%CI 1.08–3.05, p = 0.024). Predictors of high ALC included treatment with proton therapy vs. IMRT (OR4.18, 95%CI 2.34–7.47, p < 0.001), smoking at diagnosis (OR2.80, 95%CI 1.49–5.25, p = 0.001), early stage I–II disease (OR2.33, 95%CI 1.32–4.17, p = 0.005), and SCC histology (OR3.70, 95%CI 1.01–14.29, p = 0.048). Mean body dose (MBD) was inversely related to high ALC nadir (OR0.77 per Gy, 95%CI 0.70–0.84, p < 0.001).ConclusionA higher ALC level during nCRT is associated with a higher rate of pCR for esophageal cancer patients undergoing trimodality therapy.



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Inter-institutional analysis demonstrates the importance of lower than previously anticipated dose regions to prevent late rectal bleeding following prostate radiotherapy

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Publication date: Available online 9 March 2018
Source:Radiotherapy and Oncology
Author(s): Maria Thor, Andrew Jackson, Michael J. Zelefsky, Gunnar Steineck, Asa Karlsdòttir, Morten Høyer, Mitchell Liu, Nicola J. Nasser, Stine E. Petersen, Vitali Moiseenko, Joseph O. Deasy
PurposeTo investigate whether inter-institutional cohort analysis uncovers more reliable dose–response relationships exemplified for late rectal bleeding (LRB) following prostate radiotherapy.Material and methodsData from five institutions were used. Rectal dose–volume histograms (DVHs) for 989 patients treated with 3DCRT or IMRT to 70–86.4 Gy@1.8–2.0 Gy/fraction were obtained, and corrected for fractionation effects (α/β = 3 Gy). Cohorts with best-fit Lyman–Kutcher–Burman volume-effect parameter a were pooled after calibration adjustments of the available LRB definitions. In the pooled cohort, dose–response modeling (incorporating rectal dose and geometry, and patient characteristics) was conducted on a training cohort (70%) followed by final testing on the remaining 30%. Multivariate logistic regression was performed to build models with bootstrap stability.ResultsTwo cohorts with low bleeding rates (2%) were judged to be inconsistent with the remaining data, and were excluded. In the remaining pooled cohorts (n = 690; LRB rate = 12%), an optimal model was generated for 3DCRT using the minimum rectal dose and the absolute rectal volume receiving less than 55 Gy (AUC = 0.67; p = 0.0002; Hosmer–Lemeshow p-value, pHL = 0.59). The model performed nearly as well in the hold-out testing data (AUC = 0.71; p < 0.0001; pHL = 0.63), indicating a logistically shaped dose–response.ConclusionWe have demonstrated the importance of integrating datasets from multiple institutions, thereby reducing the impact of intra-institutional dose–volume parameters explicitly correlated with prescription dose levels. This uncovered an unexpected emphasis on sparing of the low to intermediate rectal dose range in the etiology of late rectal bleeding following prostate radiotherapy.



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Table of Contents

Publication date: May–June 2018
Source:Current Problems in Diagnostic Radiology, Volume 47, Issue 3





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High lymphocyte count during neoadjuvant chemoradiotherapy is associated with improved pathologic complete response in esophageal cancer

Neoadjuvant chemoradiation (nCRT) can reduce tumor infiltrating lymphocytes. We examined absolute lymphocyte count (ALC) nadir during nCRT for esophageal cancer (EC) and pathologic complete response (pCR).

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Inter-institutional analysis demonstrates the importance of lower than previously anticipated dose regions to prevent late rectal bleeding following prostate radiotherapy

To investigate whether inter-institutional cohort analysis uncovers more reliable dose–response relationships exemplified for late rectal bleeding (LRB) following prostate radiotherapy.

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Comparaison de la perfusion corticale par ASL entre les formes mnésique et non mnésique de la maladie d’Alzheimer à début précoce

Publication date: March 2018
Source:Journal of Neuroradiology, Volume 45, Issue 2
Author(s): Sebastien Verclytte, Renaud Lopes, Romain Viard, Christine Delmaire, Adeline Rollin, Matthieu Vanhoutte, Florence Pasquier, Jean-Pierre Pruvo, Xavier Leclerc
IntroductionLa maladie d'Alzheimer à début précoce (early-onset Alzheimer's disease ou EOAD), dont les symptômes apparaissent avant 65 ans, est caractérisée par une fréquence élevée de présentations cliniques atypiques non mnésiques associant une atteinte anatomopathologique plus sévère et une évolution clinique plus agressive que les présentations mnésiques. Dans ce contexte se pose la question d'une atteinte fonctionnelle spécifique, étudiable sur le versant perfusionnelle en IRM de manière non invasive par arterial spin labeling (ASL).Matériels et méthodesDans cette étude, 26 patients EOAD (16 patients de forme mnésique et 10 patients de forme non mnésique), 29 patients présentant une maladie d'Alzheimer à début tardif (late-onset Alzheimer's disease ou LOAD) et 12 sujets témoins ont été recrutés prospectivement. La perfusion cérébrale fut évaluée en IRM par ASL et l'analyse statistique fut effectuée après post-traitement complet incluant une projection surfacique des cartographies de perfusion après régression de l'épaisseur corticale.RésultatsComparativement aux témoins appariés, les patients EOAD non mnésiques présentaient de larges zones d'hypoperfusion dans les lobes pariétaux, les précuneus et le cortex cingulaire postérieur. L'hypoperfusion détectée chez les patients EOAD mnésiques était significativement moins étendue et localisée dans le gyrus supramarginal gauche et le cortex temporal inférieur. Comparés aux patients LOAD, les patients EOAD présentaient une hypoperfusion dans le lobe pariétal gauche, les gyri temporaux supérieurs, le cortex cingulaire postérieur et les précuneus.ConclusionL'ASL détecte des atteintes perfusionnelles différentes entre les différentes formes d'EOAD, plus étendues chez les patients à présentation non mnésique. Par ailleurs, les patients EOAD présentent une hypoperfusion plus sévère que les patients LOAD.



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Tumeur de la fosse cérébrale postérieure : à propos de 50 cas

Publication date: March 2018
Source:Journal of Neuroradiology, Volume 45, Issue 2
Author(s): N. Aichouni, S. Nasri, M. Kane, I. Kamaoui, I. Skiker
ObjectifsConnaître les différents aspects radiologiques des tumeurs de la fosse cérébrale postérieure à partir d'une série de 50 cas et d'une revue de la littérature.Matériels et méthodesNotre étude est rétrospective portant sur 50 cas de tumeurs de la fosse cérébrale postérieure, dont 44 cas ont été explorés par IRM cérébrale et 6 cas par TDM et IRM cérébrales. L'âge variait entre 18 mois et 70 ans.RésultatsNous avons recensé 12 cas de métastase sous tentorielles, 7 cas d'épendymome, 6 cas de médulloblastome, 5 cas de kyste arachnoïdien, 5 cas de neurinome de l'acoustique, 3 cas de gliome infiltrant, 4 cas d'astrocytome pylocytique, 3 cas d'hémangioblastome, 1 cas de lipome, 1 cas de méningiome, 1 cas de kyste dermoïde, 1 cas de tératome et 1 cas d'un paragangliome pontocérébelleux.ConclusionL'étude des tumeurs intracrâniennes repose aujourd'hui sur l'IRM. L'imagerie joue un rôle majeur dans le diagnostic positif et étiologique et s'avère importante pour le suivi post-thérapeutique. Néanmoins, la TDM permet mieux une étude osseuse, alors que l'IRM demeure le meilleur moyen pour l'étude des rapports lésionnels en vue d'un excellent abord chirurgical. La démarche diagnostique devant une lésion expansive de la fosse postérieure est d'affirmer l'origine tumorale de cette lésion et de déterminer avec précision son siège.



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ARETA – population et modalités de traitement

Publication date: March 2018
Source:Journal of Neuroradiology, Volume 45, Issue 2
Author(s): Matthias Gawlitza, Sébastien Soize, Laurent Spelle, Phil White, Coralie Barbe, Laurent Pierot
ObjectifLa recanalisation des anévrismes est une limitation majeure du traitement endovasculaire (EVT). ARETA est une étude prospective multicentrique, financée dans le cadre d'un PHRC dont le but est de recueillir une population consécutive de patients traités par EVT afin d'analyser les facteurs affectant la recanalisation [1]. L'objectif de cette communication est de présenter la population de l'étude et les modalités de traitement.MéthodesLes patients présentant des anévrysmes rompus et non-rompus traités par EVT ont été recrutés dans 16 centres français. Les caractéristiques du patient et de l'anévrisme ont été enregistrées ainsi que le type de traitement.RésultatsUn total de 1289 patients (femmes : 67,2 % [866/1289], âge moyen : 54,1 ans) avec 1753 anévrismes ont été inclus prospectivement. Le tabagisme a été signalé chez 60,4 % (786/1272) des patients (dont 73,4 % [559/762] avec tabagisme actif) et l'hypertension artérielle chez 36,1 % (462/1280) (dont 80,9 % [363/449] sous traitement). 24,5 % des patients (316/1289) présentaient des anévrismes multiples. Les anévrismes traités (n=1358) étaient rompus dans 61,4 % des cas (833/1356). Les localisations anévrismales étaient AcomA dans 37,0 % (502/1358), ACI intradurale dans 30,6 % (415/1358), ACM dans 21,1 % (286/1358), système vertébrobasilaire dans 7,4 % (101/1358) et ACI caverneuse dans 4,0 % (54/1358). Les diamètres moyens du sac anévrismal et du collet étaient de 6,8±3,5mm et de 3,5±1,8mm. 32 % des anévrismes traités avaient un collet large (≥4mm). Le traitement anévrismal a été réalisé par coiling (avec ou sans remodeling par ballon) dans 88,5 % des anévrismes (1202/1358), par coiling et stenting dans 3,5 % (48/1358), par un flow disrupter intra-anévrismal dans 3,2 % (43/1358), et par un flow diverter dans 4,6 % (62/1358). La répartition des techniques étaient différentes selon le statut de l'anévrisme.ConclusionARETA est la première étude systématique, multicentrique et prospective à analyser les facteurs affectant la recanalisation anévrismale après EVT. L'analyse des résultats anatomiques est actuellement en cours.



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Intérêt d’une analyse volumique de la perfusion en IRM dans le diagnostic de pseudoprogression lors du suivi des glioblastomes traités par radio-chimiothérapie concomitantes

Publication date: March 2018
Source:Journal of Neuroradiology, Volume 45, Issue 2
Author(s): M. Roques, I. Catalaa, J. Attal, M. Ferrier, S. Patsoura, R. Gramada, C. Cognard, N. Menjot de Champfleur, F. Bonneville
ObjectifsDécrire une approche originale d'analyse volumique de l'IRM de perfusion dans le suivi des glioblastomes, et d'en comparer les résultats à ceux obtenus par la méthode classique, dans le diagnostic de pseudoprogression.Matériel et méthodesÉtude rétrospective de 26 patients, en progression lésionnelle sur l'IRM réalisée un mois après la fin du traitement par RT-TMZ. Sur les séquences de DSC-perfusion, toutes réalisées à 3 Tesla, deux analyses des cartographies de CBV ont été réalisées : 1° calcul classique de rCBVmax par disposition manuelle de ROI, 2° étude de l'ensemble des CBV du volume tumoral préalablement segmenté sur la séquence 3DT1 injectée.RésultatsL'analyse de l'IRM réalisée à 3 mois de la fin de la RT, à l'aide des critères RANO, a permis de classer les patients en deux groupes : pseudoprogression (PSP, n=14) et vraie progression (VP, n=12). Lors de l'étude par ROI, le rCBVmax moyen était de 5±1,4 pour les PSP et 7,4±2,2 pour les VP (p=0,13). Lors de l'étude volumique le rCBVmax moyen était de 8,5±1,4 pour les PSP et 8,8±1,2 pour les VP (p=0,72). L'application d'un seuil de rCBV>2, nous a permis d'obtenir un pourcentage de volume tumoral hypervascularisé par rapport au volume tumoral total prenant le contraste, en moyenne de 27 % pour les PSP et 47 % pour les VP (p=0,02).ConclusionL'analyse volumique des CBV tumoraux a permis de mettre en évidence un nouveau paramètre perfusionnel : %rCBVmax>2, reflétant l'importance de la néo-angiogenèse tumorale, améliorant les performances de l'IRM de perfusion dans le diagnostic précoce de pseudoprogression et vraie progression.



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Mesure du ratio de transfert d’aimantation (MTR) sur la moelle épinière cervicale : reproductibilité et variabilité en multicentrique

Publication date: March 2018
Source:Journal of Neuroradiology, Volume 45, Issue 2
Author(s): Laureline Monteau, Benoit Combes, Elise Bannier, Christian Barillot, Gilles Edan, Anne Kerbrat, Jean-Christophe Ferré
Contexte et objectifL'évaluation des variations du ratio de transfert d'aimantation (MTR) dans la moelle épinière est une étape préliminaire à l'étude de son utilisation clinique, en particulier dans le contexte d'études multicentriques. Notre objectif était d'analyser la variabilité du MTR en intra-patient, inter-patient et en inter-centre, dans un groupe de sujets sains.Matériel et méthodesLes données de 17 sujets sains, dont six scannés deux fois, ont été acquises de C1 à C7 sur cinq IRM 3T (deux modèles) d'un même fabricant. Les valeurs moyennes de MTR ont été calculées pour chaque niveau vertébral dans la totalité du cordon médullaire (CM) et dans les régions de substance blanche (SB) et substance grise (SG). Ces régions ont été définies à l'aide de méthodes de traitement automatiques. Les écarts-types (ET) associés aux variations intra-patients, inter-patients, et inter-centres ont ensuite été estimés.RésultatsLes valeurs moyennes de MTR médullaires étaient significativement plus élevées pour les trois premiers étages cervicaux : 40,5 %, 37,5 % et 35,7 % en C1, C2 et C3 respectivement. De C4 à C6, la valeur moyenne de MTR était de 34,6±0,9 % dans CM. Les valeurs dans la SG étaient plus faibles que dans la SB (32,7±1,1 % contre 35,9 %±1,1 % ; p=4e−12). La plus grande variabilité résidait dans les mesures intra-patients, avec un ET de 0,8 pu dans CM. En revanche, l'ET inter-centre était de 0,5 pu, représentant environ 30 % de variabilité globale. Aucune variabilité substantielle inter-patient n'a été détectée.ConclusionUne bonne reproductibilité entre centres et une faible variabilité dans la population contrôle des mesures de MTR dans la moelle épinière cervicale, ouvre la voie à des études multicentriques longitudinales des pathologies démyélinisantes.



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Intérêt de l’IRM dans la mucocèle fronto-ethmoïdale : à propos de 4 cas

Publication date: March 2018
Source:Journal of Neuroradiology, Volume 45, Issue 2
Author(s): O. Zamani, H. Boukhalit, N. Echerif elkettani, M. Fikri, M. Elhassani, M. Jiddane
ObjectifsDécrire l'expression radiologique en IRM des mucocèles fronto-ethmoïdales. Préciser l'apport de l'IRM dans le diagnostic positif et le bilan d'extension.Matériels et méthodesÉtude rétrospective de 4 cas de mucocèle fronto-ethmoïdales colligés au service de neuroradiologie sur une période de deux ans. L'IRM a été réalisée chez tous les malades avec des séquences dans les trois plans de l'espace en écho de spin pondérée en T1 et en T2 ainsi que des séquences après injection de gadolinium.RésultatsLes signes cliniques étaient répartis entre l'obstruction nasale chez deux malades et l'exophtalmie unilatérale chez les deux autres. La mucocèle était localisée au niveau fronto-ethmoïdale dans 2 cas, au niveau frontal dans 1 cas et ethmoïdale chez 1 cas. Chez tous les malades, l'IRM a objectivé une formation intra-sinusienne de contours polylobés en isosignal T1 hypersignal T2 et diffusion. Le rehaussement périphérique était noté chez deux malades. L'aspect lysé et/ou soufflé de la corticale était présent chez 3 cas, l'extension endo-orbitaire chez 2 cas et l'extension endocrânienne dans 1 cas.ConclusionLes mucocèles fronto-ethmoïdales sont des formations pseudo-kystiques expansives des cavités sinusiennes pouvant compliquer les traumatismes de la face. Malgré leur bénignité histologiques, elles gardent un potentiel agressif vis-à-vis des structures de voisinage. L'IRM reste d'un grand apport en cas de doute diagnostique sur le scanner et offre une meilleure analyse des rapports méningés et orbitaires.



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Prédiction de l’évolution au long terme des troubles cognitifs post-AVC à partir de données d’IRM fonctionnelle de repos

Publication date: March 2018
Source:Journal of Neuroradiology, Volume 45, Issue 2
Author(s): Clément Bournonville, Thibaut Dondaine, Hilde Henon, Christine Delmaire, Stéphanie Bombois, Jean-Pierre Pruvo, Xavier Leclerc, Régis Bordet, Renaud Lopes
IntroductionMalgré une forte prévalence, les mécanismes conduisant à l'apparition de troubles cognitifs après un AVC sont très mal connus. Lors de précédents travaux, nous avons identifié un réseau fonctionnel de repos altéré chez des patients présentant un trouble cognitif 6 mois après un premier accident ischémique 1. L'objectif de cette étude est de montrer l'effet prédictif de ce réseau fonctionnel dans l'évolution de l'état cognitif de patients 3 ans après un AVC.Méthodes67 patients victimes d'un premier accident ischémique (cohorte STROKDEM, NCT01330160) sont suivis à 72h, 6 et 36 mois après l'AVC. Tous ont effectué une imagerie fonctionnelle de repos 6 mois post-AVC à l'aide d'une IRM Achieva 3T (Phillips, Pays-Bas). Des examens clinique (Tableau 1) et neuropsychologique évaluant la mémoire, les fonctions exécutives, le langage et la perception visuelle, sont réalisés 6 et 36 mois après l'AVC. L'évolution cognitive est définie par un z-score correspondant à la différence entre 6 et 36 mois post-AVC. La prédiction de celle-ci est réalisée à l'aide d'un algorithme d'apprentissage machine (ridge regression) prenant en entrée les connections fonctionnelles du réseau préalablement déterminé et utilisant une validation croisée de type leave-one out comme mesure d'efficacité. La significativité de chaque prédiction est évaluée à l'aide d'un modèle null par permutations.RésultatsÀ l'exception du langage, l'évolution de l'état de la mémoire, des fonctions exécutives et visuo-perceptives sont significativement prédites par le réseau fonctionnel 6 mois après l'AVC (Fig. 1, p<0,05). En termes de précision, les données d'imagerie fonctionnelle prédisent plus de 30 % (R2) du score d'évolution de la mémoire et des fonctions exécutives, et plus de 60 % des fonctions de perception visuelle.ConclusionCette étude montre l'intérêt de la connectivité fonctionnelle par IRM dans l'explication et la prédiction de l'évolution de l'état cognitif d'un patient au long terme après un AVC.



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Editorial Board

Publication date: March 2018
Source:Journal of Neuroradiology, Volume 45, Issue 2





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Sensorineural hearing loss in patients with vestibular schwannoma relies on the presence of utricular hydrops, as diagnosed with heavily weighted T2 sequences

Publication date: March 2018
Source:Journal of Neuroradiology, Volume 45, Issue 2
Author(s): Guillaume Poillon, Michael Eliezer, André Gillibert, Julien Horion, Emmanuel Gerardin, Adrien Trintignac, Nicolas Magne, Arnaud Attyé
PurposeDue to the increased protein concentration in the perilymph liquid, FIESTA-C has recently been proposed to assess endolymphatic spaces without administration of contrast media in patients with vestibular schwannoma. The aim of this study was to assess whether vestibular endolymphatic space dilatation, as evaluated with 3D-FIESTA-C sequences, is related to the degree of hearing loss in patients with schwannoma.Materials and methodsIn this retrospective study (IRB 5995), we performed 3D-FIESTA-C sequences in 32 patients with schwannoma, as diagnosed on the basis of typical image findings. Two radiologists independently checked the visualization and evaluated the volume of the utricle and saccule. Pearson and Spearman tests were used to explore the correlation between the volume of the tumor, the volume of the vestibular endolymphatic space and the degree of hearing loss – as evaluated with the levels of pure-tone average (PTA) and speech recognition threshold (SRT).ResultsThe endolymphatic space can be evaluated in 72% (23 out of 32 patients) of patients with schwannoma on non-contrast 3D-FIESTA-C sequences. The mean saccular, utricular and tumor volume were 3.17mm3, 14.55mm3 and 1.74cm3 respectively. There was a significant correlation between the volume of the utricle and the degree of hearing loss as evaluated with the levels of PTA (p=0.015) and SRT (p=0.004). There was no significant correlation between the saccular and tumor volumes and the degree of hearing loss.ConclusionThe volume of the utricle in schwannoma patients is related to the degree of hearing loss.



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Programme des 45e Journées de la Société française de neuroradiologie

Publication date: March 2018
Source:Journal of Neuroradiology, Volume 45, Issue 2





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SAFE (safety and efficacy analysis of Fred embolic device in aneurysm treatment) : résultats préliminaires

Publication date: March 2018
Source:Journal of Neuroradiology, Volume 45, Issue 2
Author(s): Laurent Pierot, Jean-Yves Gauvrit, Jean-Paul Lejeune, Anne-Laure Derelle, Jean Gabrillargues, Emmanuel Chabert
IntroductionL'utilisation de flow diverters est maintenant une technique bien établie pour le traitement de certains anévrismes intracrâniens. Le FRED et le FRED Jr sont des flow diverters double couche, auto expansibles, en nickel-titanium. SAFE est une étude qui a pour objectif d'évaluer la sécurité et l'efficacité de ces dispositifs.Matériels et méthodesSAFE est une étude prospective, multicentrique conduite dans 13 centres de neuroradiologie interventionnelle en France. Les données, collectées à l'aide d'un CRF électronique, sont contrôlées à 100 %. Les données cliniques et les résultats anatomiques sont évalués de façon indépendante. Le critère principal de sécurité est le taux de morbidité (définie par un mRS >2) et de mortalité à 6 mois. Le critère principal d'efficacité est le taux d'occlusion anévrismale complète sans sténose associée du vaisseau porteur à 6 mois. Les événements indésirables et les résultats anatomiques sont analysés par des experts indépendants.RésultatsDe juillet 2014 à juillet 2016, 103 patients (femmes : 87, 84,5 % ; âge moyen : 52,4±11,0 ans) porteurs de 103 anévrismes traités par FRED (90/103) et FRED Jr (13/103) ont été inclus. Les localisations anévrismales étaient l'artère carotide interne supraclinoïdienne (71/103, 68,9 %), l'artère carotide interne intracaverneuse (15/103, 14,6 %), l'artère cérébrale ou communicante antérieure (9/103, 8,7 %), et l'artère cérébrale moyenne (8/103, 7,8 %). Le traitement par FRED ou FRED Jr a pu être réalisé dans 98/103 cas (95,2 %). Les complications suivantes (avec impact clinique) ont été observées : complications thromboemboliques chez 5/103 patients (4,9 %), hémorragie per-opératoire chez 2/103 patients (1,9 %), rupture anévrismale retardée chez 1/103 patients (1,0 %), et hématome à distance chez 1/103 malades (1,0 %). Les taux de morbidité et mortalité à 6 mois sont respectivement de 2.0 % (2/102) et 1,0 % (1/102). Les résultats anatomiques à 6 mois montrent une occlusion anévrismale complète dans 58/95 anévrismes (61,1 %), un collet résiduel dans 8/95 anévrismes (8,4 %) et un anévrisme résiduel dans 29/95 anévrismes (30,5 %).ConclusionL'étude SAFE confirme la grande sécurité des dispositifs FRED et FRED Jr dans le traitement des anévrismes intracrâniens avec une morbi-mortalité à 6 mois de 3.0 %. Les résultats anatomiques à 6 mois montrent une bonne efficacité des dispositifs.



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45e Congrès de la Société française de neuroradiologie

Publication date: March 2018
Source:Journal of Neuroradiology, Volume 45, Issue 2
Author(s): J.-C. Ferré, J.-Y. Gauvrit




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Démarche diagnostique devant une restriction étendue du cortex en séquence de diffusion

Publication date: March 2018
Source:Journal of Neuroradiology, Volume 45, Issue 2
Author(s): Manfred Glénat, Clémence Morel, Clément Chevalier, Fabrice-Guy Barral, Claire Boutet
IntroductionLa restriction étendue du cortex en séquence de diffusion peut s'expliquer par plusieurs mécanismes, vasculaire, cytotoxique, acidose ou accumulation de matériel amorphe. Devant une telle anomalie, le contexte, l'analyse du signal des noyaux gris centraux, de la substance blanche et la recherche d'une atrophie permettent d'orienter le diagnostic.Matériel et méthodeÀ partir d'une analyse systématique de ces différents éléments, proposer une démarche diagnostique devant un hypersignal diffusion restrictif étendu du cortex.RésultatsLes lésions post-traumatiques, ainsi que l'anoxie, sont orientées par le contexte. En cas d'atteinte associée des noyaux gris centraux, l'anoxie cérébrale, avec sa restriction et l'encéphalopathie hépatique chronique, avec un hypersignal T1 spontané bi-pallidale, peuvent être évoquées. Une anomalie du corps calleux oriente vers une encéphalopathie éthylique, carentielle. En cas d'atteinte de la substance blanche, l'anomalie de signal oriente vers une encéphalopathie infectieuse, comme le VIH, tandis que l'atrophie fait plutôt suspecter une démence neuro-dégénérative. Enfin, une atteinte corticale isolée ou associée aux thalami devra faire évoquer une maladie de Creutzfeld-Jacob.DiscussionLa prise en compte du contexte et l'analyse des lésions associées à un hypersignal diffusion restrictif du cortex, à type de modification de signal des noyaux gris centraux, de la substance blanche et de la trophicité permettent le plus souvent d'évoquer le diagnostic étiologique.



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Complications du traitement endovasculaire des anévrismes cérébraux : incidences, analyses en sous-groupes et facteurs de risques issus de l’étude ARETA

Publication date: March 2018
Source:Journal of Neuroradiology, Volume 45, Issue 2
Author(s): S. Soize, M. Gawlitza, L. Pierot
IntroductionL'objectif est de rapporter l'incidence des complications procédurales et d'identifier leurs facteurs de risque dans une large série prospective de patients porteurs d'anévrismes intracrâniens (AIC) traités par voie endovasculaire. Ces résultats apporteront plus de données dans un but d'information des patients et d'aide dans le choix de la thérapeutique.Matériel et méthodesAnalyse post hoc sur une cohorte prospective multicentrique de 1289 patients traités par voie endovasculaire pour un AIC entre décembre 2013 et décembre 2014 dans 19 centres français. Seuls les patients traités pour un anévrisme unique traité ont été inclus dans l'analyse. Les complications du traitement étaient répertoriées selon les catégories suivantes : complications thromboemboliques, perforations du sac anévrismal, dissections artérielles, problèmes techniques liés au matériel. Leurs conséquences en termes de morbi-mortalité étaient rapportées. Les résultats sont rapportés de manière globale, puis dans les sous-groupes des anévrismes rompus et non rompus, en fonction des différents types de traitement.RésultatsParmi les 973 patients analysés, 14,9 % ont présentés une complication. Les complications thromboemboliques angiographiques représentaient 9,8 %, les ruptures anévrismales 2,7 %, les dissections artérielles 0,6 % et les problèmes techniques 2,7 %. Les patients ayant un AIC rompu présentaient plus de rupture lors de la procédure (3,5 % vs. 1,1 %, p=0,02) que ceux ayant un AIC non rompu, mais pas plus d'évènements thromboemboliques angiographiques (9,6 % vs. 10,1 %, p=0,78). Il n'y avait pas de différence de complications entre patients traités par coiling vs. balloon remodeling, dans la population globale comme dans les sous-groupes. La mise en place d'un stent, flow diverter ou flow disrupter n'augmentait pas le risque de complication par rapport au coiling±ballon, ce résultat étant à nuancer par un manque de puissance lié à des effectifs de petite taille dans certains groupes.ConclusionLes complications procédurales lors du traitement d'un anévrisme ne sont pas si rares, mais heureusement rarement symptomatiques. Les patients avec un AIC rompu présentent un risque plus élevé de rupture peropératoire. La technique de remodeling au ballon ne présente pas plus de risque que le coiling simple.



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À propos des tumeurs de fosse postérieure de l’enfant : trucs et astuces

Publication date: March 2018
Source:Journal of Neuroradiology, Volume 45, Issue 2
Author(s): Basile Kerleroux, Jean Philippe Cottier, Dominique Sirinelli, Baptiste Morel
ObjectifsL'IRM cérébrale est essentielle dans le bilan des tumeurs de la fosse postérieure de l'enfant pour rechercher les complications, souvent à l'origine des symptômes et évaluer l'extension locale et à distance. L'approche de la nature histologique de la lésion repose sur un raisonnement probabiliste intégrant l'imagerie mais aussi l'épidémiologie et l'anamnèse. Outre la topographie, les éléments sémiologiques IRM pertinents pour le diagnostic et le pronostic de ces tumeurs sont présentés.Matériels et méthodesÀ partir d'une revue de la littérature, les éléments sémiologiques pertinents des lésions lésion tumorales de la fosse postérieure ont été synthétisés et illustrés.RésultatsLes médulloblastomes, les astrocytomes pilocytiques et les gliomes du tronc restent les trois tumeurs les plus fréquentes suivi des épendymomes. Cette hiérarchie épidémiologique doit cependant être adaptée à l'âge et la localisation précise de la lésion [1,2]. La topographie lésionnelle a une importance prépondérante [1,3]. Au niveau du tronc cérébral, l'atteinte du pont est l'élément clef à rechercher, elle est très évocatrice d'un gliome de haut grade. Concernant les tumeurs intra-ventriculaires, le médulloblastome est beaucoup plus fréquent que l'épendymome, ce dernier ne sera évoqué qu'en cas de tumeur très plastique qui s'infiltre dans les foramens. En périphérie du cervelet l'astrocytome pilocytique est la principale tumeur, mais on trouve également un type particulier de médulloblastome (MB-SHH) et il faudra savoir évoquer une tumeur rhabdoïde teratoïde atypique chez l'enfant en bas âge surtout en cas d'envahissement de l'angle ponto-cérébelleux. La morphologie tumorale solide, ou micro-kystique n'est pas discriminante. Une lésion majoritairement kystique avec paroi épaisse ou nodule mural est très en faveur d'un astrocytomes pilocytique. L'existence de stigmates hémorragiques n'est pas discriminante. Les calcifications bien qu'aspécifiques sont présentes dans 50 % des épendymomes. L'absence de rehaussement oriente vers un gliome de bas grade dans le tronc ou un médulloblastome du groupe 4 [1,2]. La diffusion permet de différencier l'astrocytome pilocytique faiblement cellulaire du médulloblastome ou de l'épendymome [4]. La perfusion est surtout utile pour différentier astrocytome pilocytique et hémangioblastome [5]. La spectroscopie permet parfois de conforter un diagnostic mais elle reste d'interprétation souvent difficile. La dissémination méningée ou cisternale est plus fréquente pour les médulloblastomes mais n'est pas spécifique de ces lésions est doit donc être rechercher de façon systématique par une exploration complète du névraxe. Le contexte de syndrome de Von Hippel Lindau oriente vers un hémangioblastome, une NF1 vers un gliome, une NF2 vers un schwannome ou un méningiome.ConclusionUne exploration complète du névraxe est indispensable devant toute tumeur de la fosse postérieure de l'enfant. La gamme diagnostique est large, dominée par le médulloblastome, l'astrocytome pilocytique et le gliome du tronc cérébral. Orienter vers la nature histologique nécessite l'analyse combinée de critères radiologiques, cliniques mais aussi épidémiologiques ajustés sur l'âge de l'enfant et la topographie de la lésion. Aucun critère ne permet à lui seul un diagnostic de certitude.



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Existe-t-il un bénéfice de la thrombectomie mécanique chez les patients atteints d’AVC ischémiques étendus (DWI-ASPECTS ≤5) ?

Publication date: March 2018
Source:Journal of Neuroradiology, Volume 45, Issue 2
Author(s): P.-F. Manceau, S. Soize, M. Gawlitza, G. Fabre, S. Bakchine, C. Durot, I. Serre, G.-E. Metaxas, L. Pierot
IntroductionL'indication de la thrombectomie mécanique dans les lésions ischémiques dépassant un certain volume sur la séquence de diffusion reste indéterminée. Nous avons cherché à identifier des facteurs qui aideraient à sélectionner les patients ayant des lésions ischémiques étendues sur la séquence de diffusion (Diffusion Weighted Imaging-Alberta Stroke Program Early CT Score, DWI-ASPECTS≤5) et qui pourraient bénéficier d'une thrombectomie.Matériels et méthodesDe mai 2010 à novembre 2016, nous avons étudié 82 patients atteints d'accidents vasculaires cérébraux (AVC) ischémiques aigus avec un score DWI-ASPECTS≤5 (43 hommes, 64,6±14,4 ans, NIHSS (National Institutes of Health Stroke Scale) 18,4±5,4) et traités par thrombectomie mécanique. La thrombectomie seule a été effectuée chez 28 patients (34 %) et en association avec une thrombolyse intraveineuse (TIV) chez 54 patients (66 %). La recanalisation a été définie par un score TICI (thrombolysis in cerebral infarction) 2B-3 et une transformation hémorragique significative par un hématome intraparenchymateux de type 2 (European Cooperative Acute Stroke Study 3 classification). Les variables pré-traitement ont été comparées entre les patients ayant eu un résultat neurologique favorable à 3 mois (modified Rankin Scale-mRS 0-2) et ceux avec un résultat défavorable (mRS 3-6).RésultatsVingt-huit patients (34 %) ont obtenu un résultat neurologique favorable à 3 mois. Les patients recanalisés avaient une probabilité d'obtenir un bon résultat clinique significativement plus élevé (61 % contre 7,3 %, p<0,0001), un taux de mortalité plus faible (24 % contre 49 %, p=0,03) et des taux similaires d'hématome intraparenchymateux de type 2 (9,8 % vs. 7,3 % p=1) par rapport aux non-recanalisés. La régression logistique a identifié un score DWI-ASPECTS>2 (OR 6,93 ; 95 % CI [1,05–45,76], p=0,04), une glycémie ≤6,8mmol/L (OR 4,05 ; 95 % CI [1,09–15,0], p=0,03) et la TIV (OR 3,67 ; 95 % CI [1,04–12,9], p=0,04) comme facteurs prédictifs indépendants de résultat neurologique favorable.ConclusionParmi les patients avec un score DWI-ASPECTS≤5, 2/3 ont obtenu un résultat neurologique favorable lorsqu'ils ont été recanalisés par une thrombectomie, contre seulement 1/14 des non-recanalisés. Les facteurs pré-traitement de bon résultat neurologique étaient un score DWI-ASPECTS >2, la TIV et une glycémie ≤ 6,8mmol/L.



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L’amélioration neurologique précoce est un marqueur simple et fiable du succès de la thrombectomie mécanique

Publication date: March 2018
Source:Journal of Neuroradiology, Volume 45, Issue 2
Author(s): S. Soize, G. Fabre, P.-F. Manceau, C. Durot, M. Gawlitza, G. Metaxas, I. Serre, S. Bakchine, L. Pierot
IntroductionLe but était d'identifier la meilleure définition de l'amélioration neurologique précoce (ANP) à 2h et 24h après thrombectomie et de déterminer sa capacité à prédire un devenir fonctionnel à 3 mois.Matériel et méthodesAnalyse rétrospective à partir d'un registre monocentrique de patients traités par thrombectomie mécanique entre mai 2010 et mars 2017. Étaient inclus pour analyse les patients traités par stent-retriever, avec un National Institute of Health Stroke Scale (NIHSS) évalué à 2h et/ou 24h après traitement et un Modified Rankin Score (mRS) évalué à 3 mois. Les données démographiques, cliniques et d'imagerie étaient recueillies. Les seuils optimaux d'ANP à 2h et 24h ont été estimés par l'analyse des courbes ROC. La relation entre les définitions optimales d'ANP et le devenir favorable à 3 mois a été évaluée à l'aide de régressions logistiques.RésultatsAu total, 246 patients ont été inclus. À 2h, le seuil optimal pour prédire une bonne évolution neurologique à 3 mois était une amélioration du score NIHSS>1 point (AUC 0,83 [IC95 % : 0,77–0,87]) avec une sensibilité de 78,3 % (62,2–85,7 %), une spécificité de 84,6 % (77,2–90,3 %) et un OR de 4,23 (IC95 % : 1,39–12,88, p=0,01). À 24h, il s'agissait d'une amélioration du score NIHSS>4 points (AUC : 0,93 [IC95 % : 0,89–0,96]) avec une sensibilité de 93,8 % (87,7–97,5 %), une spécificité de 83,2 % (75,7–89,2 %) et un OR de 81,47 (IC95 % : 15,95–415,42, p<0,0001).ConclusionL'ANP à 24h après thrombectomie apparaît être un marqueur pronostique simple et fiable du devenir à long terme et pourrait servir de critère de jugement dans de futures études.



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Impact de l’hypnoanalgésie sur la pénibilité de la cimentoplastie vertébrale ou du bassin

Publication date: March 2018
Source:Journal of Neuroradiology, Volume 45, Issue 2
Author(s): Fabrice Bing, Nadine Barthélémy, Emmanuelle Ancel-Berger, Michel Berger, Magali Reymondon
IntroductionL'hypnoanalgésie a pour objectif de diminuer la pénibilité d'un geste invasif. Son utilisation a été rapportée dans les gestes de cardiologie, radiologie interventionnelle vasculaire ou percutanée. Dans cette étude monocentrique prospective non randomisée, la pénibilité de la cimentoplastie (os tumoral ou ostéoporotique), effectuée en procubitus chez les patients accompagnés par hypnoanalgésie (groupe H) était comparée à celle ressentie sans hypnoanalgésie (groupe SH).Matériels et méthodesL'hypnoanalgésie était proposée en consultation et réalisée si le manipulateur formé à l'hypnose ericksonienne était présent le jour du geste. Tous les patients bénéficiaient d'une anesthésie locale (AL), d'une injection d'1g de paracétamol et 0,5mg de midazolam. Le bien-être durant le geste (de 0 « très inconfortable à 10 « très confortable », évalué 2h post-procédure), le rajout d'un traitement (midazolam ou protoxyde d'azote [NO]) ainsi que les variations de TA et de FC pendant le geste ont été mesurés.RésultatsVingt-cinq patients (1 [12] ou 2 [13] localisations) ont été inclus dans le groupe H et 39 (1 [19], 2 [13], 3[5] ou 4 [2] localisations) pour le groupe SH. Vingt-quatre (96 %) lésions étaient tumorales dans le groupe H et 34 (87,2 %) dans le groupe SH. L'état de bien-être était de 7,3±2,3 et 6,9±1,7 dans les groupes H et SH respectivement (p=0,242), pour des durées de traitement de 48,5±17,9min pour le groupe H et 46,8±16,7min pour le groupe SH. 16 % des patients dans le groupe H et 38,5 % dans le groupe SH ont bénéficié d'un complément d'anxiolytique/antalgique ou de NO (p=0,055). 92 % des patients pensent que l'H a diminué la pénibilité du geste. Il n'a pas été observé de variations significatives de FC ou TA durant les gestes.ConclusionL'hypnoanalgésie diminue la pénibilité de la cimentoplastie, ce qui se traduit essentiellement par une moindre quantité d'anxiolytique/antalgique ou de NO administrés pour un état de confort identique à celui rapporté sous AL.



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La séquence de diffusion classique détecte l’hématome de paroi des dissections carotidiennes !

Publication date: March 2018
Source:Journal of Neuroradiology, Volume 45, Issue 2
Author(s): Gilles Adam, Marine Ferrier, Sofia Patsoura, Raluca Gramada, Zuzana Meluchova, Christophe Cognard, Vincent Larrue, Fabrice Bonneville
ObjectifÉvaluer la capacité de la séquence de diffusion réalisée sur le cerveau, à détecter l'hématome de paroi des dissections carotidiennes.Matériel et méthodeÉtude rétrospective d'une cohorte de 110 patients de moins de 55 ans (40 femmes, âge moyen : 46,79 ans) admis à la phase aiguë d'un déficit neurologique, d'une céphalée ou d'une cervicalgie et ayant bénéficié au minimum d'une séquence de diffusion standard à 3 Tesla sur le cerveau. Parmi eux étaient inclus 50 patients (14 femmes, âge moyen : 46,72) ayant consécutivement eu une dissection carotidienne, dont le diagnostic avait été posé par écho-Doppler, IRM ou artériographie. Dans l'ensemble de la cohorte anonymisée, a été analysé en aveugle, séparément par un radiologue senior et un junior, uniquement sur la séquence de diffusion, la présence d'un hypersignal en croissant ou circulaire en projection des segments sous-pétreux des artères carotides internes (Fig. 1), dans l'hypothèse qu'il corresponde à un hématome de paroi d'une dissection.RésultatsLe radiologue senior retrouvait 46 hypersignaux diffusion sous-pétreux chez 43/50 patients présentant une dissection, aucun chez les patients ne présentant pas de dissection (sensibilité 86 %, spécificité 100 %). Le radiologue junior retrouvait 48 hypersignaux diffusion sous-pétreux chez 45/50 patients présentant une dissection, aucun chez les patients ne présentant pas de dissection (sensibilité 90 %, spécificité 100 %). Le kappa inter observateur, calculé à 0,99, était excellent.ConclusionDans notre cohorte, la séquence de diffusion standard réalisée à la phase aiguë d'un AVC ou d'une suspicion clinique de dissection a détecté à elle seule près de 90 % des dissections carotidiennes.



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Incidence et prédiction de la recanalisation artérielle précoce après thrombolyse IV chez les candidats à une thrombectomie : résultats d’une étude multicentrique

Publication date: March 2018
Source:Journal of Neuroradiology, Volume 45, Issue 2
Author(s): Pierre Seners, Guillaume Turc, Olivier Naggara, Jean-Louis Mas, Catherine Oppenheim, Jean-Claude Baron
IntroductionLe « bridging » — thrombolyse intraveineuse par alteplase (TIV) suivie d'une thrombectomie mécanique (TM) — est le traitement de référence des accidents ischémiques cérébraux avec occlusion proximale. Cependant, 1) dans ∼20 % des patients transférés pour TM celle-ci n'est pas réalisée en raison d'une recanalisation précoce (RP) post-TIV (transferts « futiles »), et 2) une RP ne survient pas chez la majorité de patients, pour lesquels l'intérêt même de la TIV et la possibilité de nouveaux traitements se pose désormais. L'objectif de notre étude est de déterminer l'incidence et les facteurs prédictifs de RP après TIV, dans une cohorte de patients transférés pour TM depuis l'entrée du bridging en routine clinique.MéthodesAnalyse rétrospective d'une cohorte incluant 4 centres de TM français et leurs 12 principales UNV partenaires. Étaient inclus les patients avec occlusion proximale de la circulation antérieure (ACI-T/L, M1, M2) traités par TIV et adressés pour TM entre 5/2015 et 3/2017, qu'ils soient pris en charge initialement dans le centre de TM (mothership) ou transférés depuis une UNV partenaire (drip-and-ship). Le critère de jugement était la constatation d'une RP sur le premier jet de l'artériographie ou sur une imagerie non invasive, définie comme un score mTICI 2b-3 ou AOL 3 selon le site d'occlusion. La longueur du thrombus était déterminée en utilisant le « susceptibility vessel sign » (SVS) sur la séquence IRM en T2* ou SWI.RésultatsSur la période étudiée, 633 patients remplissaient les critères d'inclusion (âge médian 72 ans ; NIHSS médian 16 ; mothership 41 %). Une RP était constatée chez 19,6 % des patients, plus fréquente chez les patients drip-and-ship vs. mothership (25,9 % et 10,4 %, respectivement ; p<0,01). La RP était respectivement de 6,4 %, 16,1 %, 30,3 % et 33,7 % en cas d'occlusion ACI-T/L, M1 proximal, M1 distal ou M2 proximal. En analyse multivariable, la longueur du SVS (p<0,01), le site d'occlusion (p=0,01) et le traitement « mothership » (p<0,01) étaient associés de manière indépendante à la non-RP.ConclusionCette étude montre un taux non négligeable de RP après TIV chez les patients candidats à une TM. Un long thrombus, un site d'occlusion proximal et un traitement « mothership » sont des facteurs indépendants de non-RP. Nous comptons tester sur cette cohorte un score prédictif de non-RP utilisant ces 3 variables, score que nous validerons ensuite sur une cohorte indépendante équivalente. Nous espérons que ce score prédictif permettra d'identifier de façon robuste les patients à haut-risque de non-RP après TIV, non seulement pour une application clinique de routine, mais également car ces patients sont des candidats idéaux pour les essais thérapeutiques testant par exemple le bridging vs. TM seule, ou de nouvelles approches thrombolytiques.



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Tricyclic antidepressants and appropriate and inappropriate medications in the geriatric population comments.

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Publication date: Available online 9 March 2018
Source:Oral Surgery, Oral Medicine, Oral Pathology and Oral Radiology
Author(s): Ronald S. Brown




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Appropriateness of tricyclic antidepressants in the geriatric population: a critical interpretation of existing literature

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Publication date: Available online 9 March 2018
Source:Oral Surgery, Oral Medicine, Oral Pathology and Oral Radiology
Author(s): Arwa M. Farag, Bhavik Desai




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Non-invasive diagnostic adjuncts for the evaluation of potentially premalignant oral epithelial lesions: current limitations and future directions

Publication date: Available online 9 March 2018
Source:Oral Surgery, Oral Medicine, Oral Pathology and Oral Radiology
Author(s): Eric C. Yang, Melody T. Tan, Richard A. Schwarz, Rebecca R. Richards-Kortum, Ann M. Gillenwater, Nadarajah Vigneswaran
Potentially premalignant oral epithelial lesions (PPOELs) are a group of clinically suspicious conditions, of which a small percentage will undergo malignant transformation. PPOELs are suboptimally diagnosed and managed under the current standard of care. Dysplasia is the most well-established marker to distinguish high-risk PPOELs from low-risk PPOELs, and taking a biopsy to establish dysplasia is the diagnostic gold standard. However, biopsies are limited by high morbidity, resource requirements, and the potential for underdiagnosis. Diagnostic adjuncts could help clinicians better evaluate PPOELs before a definitive biopsy, but existing adjuncts such as toluidine blue, acetowhitening, and autofluorescence imaging have poor accuracy and are not generally recommended. Recently, in vivo microscopy technologies such as high-resolution microendoscopy, optical coherence tomography, reflectance confocal microscopy, and multiphoton imaging have shown promise for improving PPOEL patient care. These technologies allow clinicians to visualize many of the same microscopic features used for histopathological assessment at the point-of-care.



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Matrix-associated chondrocyte transplantation for reconstruction of articulating surfaces in the temporomandibular joint: a pilot study covering medium- and long-term outcomes of 6 patients

Publication date: Available online 9 March 2018
Source:Oral Surgery, Oral Medicine, Oral Pathology and Oral Radiology
Author(s): Gerhard Undt, Michael Jahl, Sebastian Pohl, Stefan Marlovits, Doris Moser, Hyang-Hee Yoon, Jimmy Frank, Susanna Lang, Christian Czerny, Guenter Klima, Eileen Gentleman, Rolf Ewers
ObjectivesMatrix associated chondrocyte transplantation (MACT) is routinely used in joints of the extremities, but not in the temporomandibular joint (TMJ).Study designWe report the first case series in 7 patients of a tissue engineering approach to regenerate severely degraded articulating surfaces in the TMJ by simultaneously completely resurfacing both the mandibular condyle and the articular eminence/glenoid fossa with a commercially available collagen sponge seeded with autologous cells stabilised within a fibrin matrix. To facilitate healing, we temporarily employed a silicone membrane to protect the engineered tissues. The indications for surgery were post-traumatic fibro-osseous ankylosis, ankylosing osteoarthritis or late stage osteoarthritis.ResultsSix of the patients were recalled for follow-up after 3 years 6 months to 12 years 1 month. The maximum incisal opening was 18.2mm ± 9.2mm (min 9, max 33mm) before and 31.2mm ± 13.6mm (min 12, max 47mm) at the latest follow-up. Histological specimens taken at 4 months showed beginning differentiation of fibrocytes into chondrocytes, whereas at 3 and 11 years, mature hyaline cartilage – not typical for the TMJ - was present.ConclusionWe conclude that the reconstruction of TMJ surfaces by matrix associated chondrocyte transplantation may become a routine method for cartilage regeneration in the temporomandibular joint in the future.



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Gingival ulceration in a 63-year-old lung transplant recipient

Publication date: Available online 8 February 2018
Source:Oral Surgery, Oral Medicine, Oral Pathology and Oral Radiology
Author(s): Brain M. Will, Scott M. Peters, Sidney B. Eisig, John T. Grbic, Michael A. McKenzie, Angela J. Yoon, Elizabeth M. Philipone




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Breast Cancer Molecular Subtype Prediction by Mammographic Radiomic Features

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Publication date: Available online 8 March 2018
Source:Academic Radiology
Author(s): Wenjuan Ma, Yumei Zhao, Yu Ji, Xinpeng Guo, Xiqi Jian, Peifang Liu, Shandong Wu
Rationale and ObjectivesThis study aimed to investigate whether quantitative radiomic features extracted from digital mammogram images are associated with molecular subtypes of breast cancer.Materials and MethodsIn this institutional review board–approved retrospective study, we collected 331 Chinese women who were diagnosed with invasive breast cancer in 2015. This cohort included 29 triple-negative, 45 human epidermal growth factor receptor 2 (HER2)-enriched, 36 luminal A, and 221 luminal B lesions. A set of 39 quantitative radiomic features, including morphologic, grayscale statistic, and texture features, were extracted from the segmented lesion area. Three binary classifications of the subtypes were performed: triple-negative vs non–triple-negative, HER2-enriched vs non–HER2-enriched, and luminal (A + B) vs nonluminal. The Naive Bayes machine learning scheme was employed for the classification, and the least absolute shrink age and selection operator method was used to select the most predictive features for the classifiers. Classification performance was evaluated by the area under receiver operating characteristic curve and accuracy.ResultsThe model that used the combination of both the craniocaudal and the mediolateral oblique view images achieved the overall best performance than using either of the two views alone, yielding an area under receiver operating characteristic curve (or accuracy) of 0.865 (0.796) for triple-negative vs non–triple-negative, 0.784 (0.748) for HER2-enriched vs non–HER2-enriched, and 0.752 (0.788) for luminal vs nonluminal subtypes. Twelve most predictive features were selected by the least absolute shrink age and selection operator method and four of them (ie, roundness, concavity, gray mean, and correlation) showed a statistical significance (P < .05) in the subtype classification.ConclusionsOur study showed that quantitative radiomic imaging features of breast tumor extracted from digital mammograms are associated with breast cancer subtypes. Future larger studies are needed to further evaluate the findings.



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Abstract presented at the Joint meeting of the 21st meeting of the Japanese Research Society of clinical anatomy and the 6th meeting of the Society for aging image.

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Assessment of Low-Grade Meniscal and Cartilage Damage of the Knee at 7 T: A Comparison to 3 T Imaging With Arthroscopic Correlation

Objectives The aim of this study was to compare the assessment of low-grade meniscal tears and cartilage damage in ultrahigh-field magnetic resonance imaging (MRI) at 7 T to routine clinical MRI at 3 T. Materials and Methods This study was approved by the local ethics committee, and written informed consent was obtained from each patient. Forty-one patients with suspected meniscal damage or mild osteoarthritis (Kellgren-Lawrence score, 0–2) received 7 T as well as routine clinical 3 T consecutively. The imaging protocol at both field strengths consisted of PD-weighted imaging with more than doubled resolution at 7 T. Images were read blinded regarding field strength and patient characteristics by 3 readers with different experience in musculoskeletal MRI (3 years, 6 years, and 10 years) according to a modified whole-organ MRI score of the knee in osteoarthritis and the Score of the International Cartilage Repair Society. Arthroscopic reports as a criterion standard were available for 12 patients. A multifactorial mixed model analysis was performed. Results The mean cumulated diagnostic score at 7 T was significantly closer to the criterion standard compared with 3 T in patients where criterion standard was available (P

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Photoaffinity Labeling of Plant Receptor Kinases.

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